Les orientations budgétaires de la métropole, où les élus piollistes siègent toujours dans la majorité, nous entraînent dans la même direction que Grenoble.
D’abord avec un recours à l’endettement qui s’aggrave chaque année. La dette devrait atteindre 845 millions en 2024. Cumulée avec celle du syndicat des mobilités héritage de la gestion des Verts, nous dépassons largement le milliard.
Ensuite avec une augmentation d’impôts. Le matraquage fiscal ne se limite pas aux ménages avec la taxe foncière qui augmente dans certaines communes, en particulier Grenoble et sa hausse record. Il touche aussi les entreprises avec une augmentation de 11% de la CFE.
Sans économies et mutualisations avec la ville-centre, nous allons droit dans le mur financier.